Powell, qui estime au contraire que « les risques d’en faire trop semblent, pour l’instant, plus faibles. Même si les actions politiques se révèlent en fin de compte plus importantes que nécessaire, elles ne seront pas gaspillées ». Il a invité la Fed et le Congrès à « travailler côte à côte pour soutenir l’économie jusqu’à ce qu’elle soit clairement sortie du bois ».
C’est par un tweet triomphant que Trump a annoncé lundi soir sa sortie de l’hôpital. Ne le laissez pas dominer votre vie», a indiqué le président américain sur le réseau social, minimisant à nouveau les dangers du virus alors qu’il a été placé sous oxygène au moins deux fois. Quelques heures plus tôt, s’ajoutant à une communication cacophonique, la porte-parole de la Maison Blanche, Kayleigh McEnany, annonçait avoir été testée positive. Cette nouvelle contamination dans l’entourage de Trump est un énième signe, s’il en fallait encore, que la Maison Blanche n’a pas pris la mesure de l’épidémie de Covid et des risques de contagion.
Il voulait pouvoir nommer jusqu’à six juges supplémentaires pour chaque juge en place de plus de 70 ans et six mois en fonction depuis au moins dix années. Parce que Nancy Pelosi soutient un projet de loi visant à donner au Congrès un rôle dans le choix (prévu dans le cadre du 25e amendement) de la remise en question des capacités à gouverner d’un président (suivez son regard). Petite pique à destination de Nancy Pelosi, la présidente de la majorité démocrate à la Chambre républicaine, prise en flagrant délit de salon de coiffure il y a quelques semaines malgré le confinement.
Le président américain pourrait quitter l’hôpital dès lundi 5 octobre. C’est en tout cas ce que ses médecins ont déclaré dimanche après-midi lors d’une conférence de presse. Selon eux, l’état de santé du président américain s’améliore et il pourrait regagner rapidement la Maison Blanche pour sa convalescence et la poursuite de ses différents traitements. Mais le Dr Conley a ajouté que l’état de santé du président s’améliorait.
Mais la dexaméthasone a généralement été réservée aux cas plus graves. Alors qu’il était prévu jusqu’à minuit, l’écran géant est débranché avant même 23 heures et les curieux rentrent chez eux au pas de course, alors que les rues de Washington se vident. Dans la nuit, des groupes de manifestants se forment, certains pour faire la fête autour d’un concert en camion, d’autres pour aller crier leur opposition à Donald Trump. Et puis, plus surprenant peut-être, la boutique officielle de la Maison Blanche annonce qu’elle vend désormais une médaille commémorative, baptisée “Donald J. Trump a vaincu le Covid”.
Plusieurs sources ont révélé au “New York Times” que l’état de Donald Trump s’était à certains moments révélé préoccupant, lorsque l’ex-président des Etats-Unis a contracté le Covid-19. Les diverses communications officielles ont notamment minimisé les craintes des médecins, les problèmes pulmonaires du patient et la forte https://coursinnatepharma.com/ baisse de son taux d’oxygène dans le sang. Dès le début du confinement l’équipe du
Temps du débat a commandé pour le site de France Culture des textes inédits sur la crise du coronavirus. Intellectuels, écrivains, artistes du monde entier ont ainsi contribué à nous faire mieux comprendre les effets d’une crise mondiale.
Le service de médecine de la Maison Blanche a déclaré que Donald Trump avait reçu une dose unique de 8 grammes de REGN-COV2 par intraveineuse. Mis au point par l’entreprise Regeneron, ce médicament a montré des résultats prometteurs dans la réduction de la charge virale. Une étude clinique a déjà été menée sur 275 patients, traités avec une seule injection de REGN-COV2, soit une dose de 8 grammes, soit 2,4 grammes, soit avec un placebo. Le médicament s’est montré plus efficace chez les patients ayant déjà produit un nombre élevé d’anticorps, peu importe la dose injectée, atténuant les symptômes de la maladie et faisant baisser la charge virale chez les malades.
“Même si Biden gagne, nous aurons beaucoup de travail à faire pour redresser ce pays, admet Fram. Par contre si Trump l’emporte, ce sera la tragédie que nous vivons déjà, mais sous stéroïdes.” Donald Trump y a reçu de la dexaméthasone, un stéroïde réservé aux personnes atteintes d’une forme grave du Covid-19. À sa sortie de l’hôpital, il a été placé sous remdesivir, un antiviral. Le coronavirus a en effet entraîné chez ce dernier un problème pulmonaire proche de la pneumonie, a révélé The New York Times.
D’ailleurs, celui-ci est utilisé comme un puissant anti-inflammatoire dans les autres services hospitaliers. “On s’interroge toujours ici sur les effets secondaires que les stéroïdes pourrait avoir sur un discours de Donald Trump encore plus décousu que d’habitude”, a ajouté Jean-Bernard Cadier. Selon certains médecins, c’est ce même traitement aux stéroïdes qui pourrait avoir des effets sur son jugement. L’entretien, qui s’est déroulé par téléphone, a suscité les interrogations de ses détracteurs, qui doutent de son état de santé.